Un livre, un autre livre, un livre encore? Oui, mon cher lecteur, mais c’est un livre du cœur, je veux dire qui tourne autour du cœur, comme les satellites autour des planètes, ou comme certains le font autour d’un pot.
La seule femme blonde que j’ai aimée…, enfin…, pour laquelle mon imagination a su développer quelques fantasmes assez fréquents, des fantasmes romanesques bien sûr, pas des gestes déplacés ou des images névrotiques, cette femme s’appelle Marylin Monroe. Ainsi s’exprima ce jour-là, dans la ville de Torun, non pas Zarathoustra, mais un admirateur inconnu de Marylin et de Nietzsche… Comme Maurane, « ♩♪♫♬♭♮♯ pour mettre un voile à sa douleur, il retouche sa photo… Tout juste pareil à… Warhol pour Monroe ♩♪♫♬♭♮♯ ».